[Type d’équivalence] qui se concentre sur le message lui-même, tant pour la forme que pour le contenu. Dans une telle traduction, les caractéristiques de la forme du texte source [sont] reproduites machinalement dans la langue cible. Si l’on se place de ce point de vue formel, le message dans la langue cible doit correspondre aussi étroitement que possible aux différents éléments de la langue source.

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1- La correspondance formelle et l’équivalence dynamique sont les binômes de Nida.

2- L’équivalence formelle tente de reproduire plusieurs éléments formels, notamment :

1) Les unités grammaticales

2) La cohérence au niveau de l’utilisation des mots

3) Le sens par rapport au texte source

La reproduction des unités grammaticales consiste à:

a) Traduire les noms par les noms, les verbes par les verbes, etc.

b) Garder toutes les expressions et les phrases intactes (ne pas diviser et réajuster les unités)

c) Préserver tous les indicateurs formels tels que les signes de ponctuation, les sauts de paragraphes et l’indentation dans les poèmes (à savoir le début en retrait de la première ligne d’un paragraphe, appelé aussi «alinéa»).

3- L’équivalence formelle accorde une importance à la forme et au contenu du message. Ce type de traduction est tourné vers le texte source.

4- L’équivalence formelle [a été] ensuite appelée «correspondance formelle» [par l’auteur lui-même dans son livre intitulé The Theory and Practice of Translation de 1982].

5- L’équivalence formelle est très proche de ce que Newmark appelle «traduction sémantique».

[Type of equivalence] which focuses attention on the message itself, in both form and content. In such a translation, the features of the form of the source text [are] mechanically reproduced in the receptor language. Viewed from this formal orientation, one is concerned that the message in the receptor language should match as closely as possible the different elements in the source language.

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1- Formal correspondence is opposed to “dynamic equivalence”. 

2- Formal equivalence attempts to reproduce several formal elements, including:

1) Grammatical units

2) Consistency in word usage

3) Meanings in terms of the source text

The reproduction of grammatical units may consist in:

a) Translating nouns by nouns, verbs by verbs, etc.

b) Keeping all phrases and sentences intact (i.e. not splitting up and readjusting the units)

c) Preserving all formal indicators such as marks of punctuation, paragraph breaks and poetic indentation.

3- Formal equivalence might be called a “gloss translation” in which the translator attempts to reproduce as literally and meaningfully as possible the form and content of the original.

4- Formal equivalence [was] later called “formal correspondence” [by the author himself in his 1982 book “The Theory and Practice of Translation”].

5- Newmark’s semantic translation focuses on the rendition of the contextual meaning of the ST according to the syntactic and the semantic characteristics of the TT, which is similar to Nida’s formal equivalence.